Les avancées scientifiques sur la construction de voitures hybrides légères transforment petit à petit le visage du secteur de la construction automobile. Aujourd’hui, les marques se tournent davantage vers nouvelles formes de mécanisation des voitures pour être à l’heure de la technologie et pour échapper aux pénalisations d’un régime étatique antipollution. Les détails dans cet article.
Les mesures anti-pollution de plus en plus sévères
Les mesures pour la réduction de CO2 deviennent de plus en plus drastiques. Pour respecter le barème de 95g de CO2 au kilomètre, les fabricants sont clairement obligés d’abandonner l’optique du diesel, sachant que cette restriction sera davantage plus rigoureuse au-delà de 2020. C’est donc une course contre la montre et contre la technologie que les constructeurs doivent assurer.
Les voitures hybrides : le plan B anti-pollution
Les voitures hybrides se présentent aujourd’hui comme une deuxième solution après les voitures électriques pour échapper aux sanctions écologiques. Elles ont la particularité d’être moins polluants que le diesel, avec une réduction de 15% de la consommation de carburant, ce qui veut dire une baisse notoire de l’émanation de CO2. Le faible coût énergétique des voitures hybrides a également convaincu les fabricants. En effet, si l’on estime que la voiture admet un surcoût d’environ 1000€, cela revient nettement moins cher que la surenchère financière qui s’applique sur une voiture diesel.
Une voiture hybride carburant à 48 volts
Le faible coût énergétique des voitures hybrides légères se résume au chiffre de 48 volts. En réalité, mis à part l’Europe, la Chine est également en train de déployer ses moyens pour créer des voitures hybrides de ce type. En vulgarisant ce nouveau type de véhicule, il y aura plus de possibilités d’atteindre l’objectif 75g de CO2 au kilomètre d’ici l’an 2025.